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crimes et chatiments

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apocalypse1966

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pour les passionées des crimes et histoires criminelles vraies !!!!!!!!!!! attention parfois certains articles peuvent etres durs !!!!!!
comment des hommes et femmes peuvent devenir des tueurs ou tueuses en serie quelles impulsions peuvent leur faires commetres des actes insencés
qui peut decider de la vie d'autrui?
quel chatiment méritent ces personnes devenus criminels ? bonne lecture et ne jugez pas les autres ont ne vous jugeras pas !!!!!!!!!!!!

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pereira




Informations personnelles

La famille de Pereira était particulièrement religieuse. Il avait été nommé comme François d'Assise, le saint italien.

Pereira semblait non seulement être un jeune homme normal, intelligent et sociable, mais un personnage particulièrement sympathique.
Il avait de l'humour, il était considéré comme une personne honnête et appréciable. Il aimait offrir ses conseils aux enfants qui faisaient du roller, étant lui même très sportif.

Une tante maternelle l'aurait violenté sexuellement durant son enfance.
Il aurait eu des relations homosexuelles avec un enseignant au collège.

Il a vécu avec un travesti du nom de Thayna durant plus d'une année. Ce dernier aurait remarqué des marques de coups et des griffures, sur son ventre et son visage, à l'époque des viols et des meurtres. Certaines victimes ayant survécu ont témoigné avoir griffé Pereira pour le repousser.

En 1995, il a été emprisonné après avoir été accusé de viol à Sao Paolo. Il a payé sa caution et l'accusation a été abandonnée.
Début 1998, Pereira a été interrogé après qu'une jeune femme avait qui il sortait ait disparu.





Crimes et châtiment

Le 4 juillet 1998, deux corps de femmes furent découverts dans le Parque do Estado (le Parc d'Etat), un parc forestier de 550 hectares dans le sud de Sao Paolo.
Deux jours plus tard, deux autres corps furent mis à jour quelques mètres plus loin. Les quatre corps étaient nus, couchés sur le ventre, les jambes écartées, parfois recouverts de branches ou de terre.

Le 7 juillet, la police identifia l'un des corps, celui d'une jeune joueuse de basket de 17 ans, Selma Ferreira Queiroz.
Le 9 juillet, la police ajouta officiellement à la liste des victimes deux autres jeunes femmes, dont les corps avaient été découverts en janvier puis en mai.
Fin juillet, le nombre de victimes s'élevait à huit en tout.

Les journaux parlaient d'un "maniaque" violeur et assassin, l'opinion publique commençait sérieusement à s'émouvoir et la police était impuissante.

À partir du 15 juillet, plusieurs jeunes femmes vinrent rappeler à la police leur plainte pour viol.
Ces jeunes femmes, violées et frappées par un jeune homme brun qui les avait emmenées dans le parc en 1997, étaient encore terrifiées. La police n'avait montré que du dédain face à celles qui avaient eu le courage de porter plainte, des mois auparavant.
Ce n'est qu'après que les meurtres aient fait la une des journaux que d'autres femmes vinrent en parler aux journalistes, forçant les policiers à rouvrir leurs dossiers.
Le premier meurtre avait eu lieu en janvier 1998 mais les plaintes des femmes violées avaient été classées sans suite et les enquêteurs n'avaient pas cherché le coupable.

Les onze victimes décrivirent un jeune homme brun qui s'était présenté comme un photographe de mode cherchant des mannequins.

Après avoir diffusé des portraits-robots du suspect basés sur les témoignages de ces jeunes femmes violées, la police reçut un appel anonyme qui l'amena à soupçonner un homme en particulier. 30 ans, brun, beau garçon et charmeur, coursier motocycliste (d'où son surnom de "motoboy"), il adorait faire du roller-blade et avait une voix très douce : il se nommait Fransisco de Assis Pereira et avait déjà été soupçonné de viol.

Une carte d'identité partiellement brûlée fut découverte dans les toilettes bouchées de la société où Pereira travaillait. Cette carte d'identité appartenait à Selma Ferreira Queiroz, l'une des victimes retrouvées dans le parc.

Malheureusement, lorsque les policiers vinrent l'arrêter à son domicile, Pereira s'était envolé.


Le 30 juillet, la police annonça avoir découvert du sperme dans le corps de Selma, ce qui lui permettrait peut-être d'obtenir une preuve solide contre le tueur. On apprit par la suite que l'échantillon avait été souillé et mal prélevé, ne pouvant plus être utilisé...

Le 4 août, Pereira fut finalement arrêté près de la frontière Uruguayenne, à Itaqui, après qu'un pêcheur avait qui il vivait l'ait dénoncé : il avait vu sa photo à la télévision.
Pereira avait quitté le Brésil pour demeurer quelques jours en Argentine. Il avait passé sans problèmes plusieurs barrages de police sans être identifié...

Pereira prêcha d'abord son innocence, affirmant qu'il ne savait pas que la police le recherchait et qu'il se rendait simplement à une compétition de roller.

Mais il finit par admettre ses meurtres à son avocat dans la nuit du 7 août 1998. Le lendemain, il réitéra ses aveux aux policiers.
Pereira avoua aux enquêteurs qu'il était le meurtrier des huit jeunes femmes du parc de Sao Paolo, mais aussi d'une neuvième non encore découverte. Il admit ainsi avoir tué Isadora Fraenkel, une étudiante de 19 ans, et conduisit la police jusqu'à son squelette, caché par des branches, qu'il avait brûlé avec de l'essence trois jours après l'avoir assassinée. Il localisa ensuite les endroits où l'on avait retrouvé des corps.
Il offrit des détails sur chaque meurtre, mais affirma avoir perdu le compte de ses victimes.

Quelques jours plus tard, les femmes violées qui avaient porté plainte le reconnurent définitivement lors d'une confrontation.
Elles apprirent ensuite, avec horreur, qu'il les avait contaminées avec le virus du Sida.

Pereira fut jugé une première fois au début de l'an 2000 pour le meurtre d'Isadora Fraenkel (le seul pour lequel l'accusation possédait assez de preuves à son encontre).
Son avocate, Maria Elisa Munhol, affirma alors : "Mon client est coupable, mais mon client est malade". Pereira lui-même affirma avoir été "poussé à tuer par des forces démoniaques irrésistibles" et expliqua ses meurtres par "un appétit charnel non ordinaire ".
Les jurés ne lui accordèrent aucune circonstance atténuante. Il fut condamné à 147 ans de prison.

Malgré cette lourde condamnation, il épousa en mai 2000 une jeune femme avec laquelle il correspondait par courrier depuis 1998. Il avait reçu la première lettre de cette femme quelques semaines après son arrestation. Elle avait loué une maison peu après, près de la prison, pour être prêt de Pereira...
En prison, il aurait soi-disant retrouvé la foi et passerait son temps à lire la Bible.

En juillet 2000, Pereira fut jugé pour les onze viols commis en 1997, et fut condamné à 121 années de prisons supplémentaires.
Toutefois, sur les 268 ans cumulés de sa condamnation, Pereira ne doit passer que 30 ans en prison, le maximum selon la loi Brésilienne.

Pereira a été interné dans la "Maison d'arrêt et de traitement psychiatrique" de Taubate, à 135km de Sao Paulo, qui n'est en fait qu'une prison de sécurité maximum surpeuplée.
Les autorités ont d'abord placé Pereira dans une cellule isolée, pensant que ses codétenus voudraient le tuer.


En décembre 2000, une émeute a eu lieu à Taubate : des détenus ont demandé à être transférés dans une autre prison, pistolets et couteaux à la main. Des familles qui venaient rendre visite à certains prisonniers ont été prises en otages.
Une guerre des nerfs et une bataille rangée ont eu lieu pendant plus de 30 heures entre les 220 détenus et les gardiens.
La police a dû intervenir et neuf détenus sont morts. Pereira a survécu.

Bien que n'ayant pas été reconnu comme "aliéné mental", Pereira a été transféré dans un centre de soins psychiatriques "afin de protéger sa vie".



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#Posté le dimanche 20 janvier 2008 07:57

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