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crimes et chatiments

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apocalypse1966

Description :

pour les passionées des crimes et histoires criminelles vraies !!!!!!!!!!! attention parfois certains articles peuvent etres durs !!!!!!
comment des hommes et femmes peuvent devenir des tueurs ou tueuses en serie quelles impulsions peuvent leur faires commetres des actes insencés
qui peut decider de la vie d'autrui?
quel chatiment méritent ces personnes devenus criminels ? bonne lecture et ne jugez pas les autres ont ne vous jugeras pas !!!!!!!!!!!!

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injection letale





Injection létale

804 exécutions par injection létale depuis 1976 aux Etats-Unis.

Cette méthode est autorisée par 37 Etats américains:

1. Alabama
2. Arizona
3. Arkansas
4. Californie
5. Colorado
6. Connecticut
7. Delaware
8. Floride
9. Georgie
10. Idaho
11. Illinois
12. Indiana
13. Kansas
14. Kentucky
15. Louisiane
16. Maryland
17. Mississippi
18. Missouri
19. Montana
20. Nevada
21. New Hampshire
22. New Jersey
23. New Mexico
24. New York
25. Caroline du Nord
26. Ohio
27. Oklahoma
28. Oregon
29. Pennsylvanie
30. Caroline du Sud
31. Dakota du Sud
32. Tennessee
33. Texas
34. Utah
35. Virginie
36. Washington
37. Wyoming

Ainsi que l'armée et le gouvernement américains.



Historique

C'est le docteur personnel de Hitler, Karl Band, qui suggéra le premier, dans son Programme d'Euthanasie T-4, d'exécuter des prisonniers en leur injectant par intraveineuse des doses mortelles de poison. Cette méthode fut notamment utilisée dans le camp de concentration de Auschwitz.








Les Etats-Unis furent le deuxième pays à faire usage de l'injection létale en tant que méthode d'exécution. Initialement proposée en 1888 par J. Mount Bleyer à New York, elle fut d'abord rejetée. En 1977, le Dr Stanley Deutsch relança le débat et l'injection létale fut finalement adoptée au Texas, qui devint le premier Etat américain à faire usage de cette méthode d'exécution.

Le premier condamné américain de l'histoire qui reçut une injection par piqûre intraveineuse fut Charlie Brooks, exécuté le 7 décembre 1982 au Texas. Il mit 7 minutes à mourir.

L'Etat de l'Oklahoma suivit le Texas et autorisa l'injection létale en 1997. Aujourd'hui, 37 des 38 Etats américains qui pratiquent la peine de mort exécutent les prisonniers par injection létale (seul le Nebraska fait encore exclusivement usage de la chaise électrique)

L'injection létale fut considérée " plus humaine " que les autres modes d'exécution, qui furent interdits dans la plupart des Etats concernés.

L'injection létale dans le monde

Aujourd'hui, la méthode s'est répandue en dehors des Etats-Unis. En 1997, elle est autorisée en République populaire de Chine, au Guatemala en 1998 et en Philippines en 1999. D'autres pays ont adopté cette méthode mais n'en font pas usage dans la pratique.

Procédure d'exécution par injection létale

Deux cathéters sont insérés sur chacun des bras du prisonnier. Seule une perfusion sert à la transmission du poison mortel, la deuxième est placée préventivement, en cas d'échec de la première injection.

La première drogue est censée détendre le détenu et le plonger dans un état d'inconscience, le temps que les deux autres produits fassent effet. Parfois dosée de manière excessive, son effet s'en trouve annulé. Le détenu est peut-être abruti, mais il reste parfaitement conscient. De plus, on sait que lorsqu'un goutte à goutte défile trop vite, le produit brûle les veines. L'injection massive de ce produit doit être insoutenable.

La deuxième drogue est destinée à arrêter tous les muscles, sauf le c½ur. Cela cause une paralysie musculaire qui écrase le diaphragme. Le détenu donne l'impression de dormir mais, en réalité, il suffoque. La paralysie l'empêche de le manifester.

La troisième drogue arrête le c½ur. Le détenu sent une brûlure dans tout le circuit veineux et décède finalement d'un arrêt cardiaque.

La procédure complète d'exécution peut durer jusqu'à 45 minutes. A compter de la première injection, le condamné meurt généralement en moins de 7 minutes.

Après l'exécution, le cadavre du prisonnier reste dans les murs de la prison, administrativement déposé dans un cimetière où l'on autorise depuis peu l'inscription du nom des prisonniers sur une simple croix blanche, à côté de leur numéro de matricule.

De nombreux accidents

Dès la première injection, certains détenus ont manifesté de violentes réactions, probablement dues au dosage du produit. Contorsions, convulsions ; certains témoins se sont évanouis tandis le personnel pénitentiaire tirait les rideaux pour les empêcher de voir la suite.

Pour éviter de pareilles réactions, désormais, à titre préventif, on administre un anti-histaminique au condamné, avant la première injection.

Le cas Tommie Smith

Le 20 juillet 1996 dans l'Indiana, Tommie Smith va être exécuté par injection létale.

Le chargé d'exécution tente, pendant seize minutes de trouver une veine dans le bras du condamné qui reste parfaitement conscient. Le gardien appelle alors un médecin qui essaie à son tour d'enfoncer une aiguille dans le cou du condamné, sans succèe. Au bout de trente-six minutes, Tommie Smith meurt.

Le poison lui a été injecté directement dans le c½ur.

Une méthode contestée par le corps médical américain

De nombreux médecins américains affirment que les États qui autorisent l'injection létale se mettent hors la loi, puisque les trois produits mortels utilisés devraient uniquement être administrés par des personnes habilitées - ce qui n'est pas le cas. Certes, un médecin introduit le cathéter dans la veine, mais la machine qui distribue les doses est de l'autre côté du mur. Les drogues ne sont pas injectées manuellement. Trois fonctionnaires appuient sur un bouton et l'injection est automatique. Aucun moniteur d'observation ne surveille le détenu durant la procédure d'exécution et personne ne sait ce que l'anesthésie provoque réellement dans le corps du condamné.

Le Serment d'Hippocrate ainsi que Le Code d'Ethique de l'Association médicale américaine, qui promulguent la défense de la vie à n'importe quel prix, interdisent aux médecins de participer à des exécutions.

Cependant, une présence médicale est obligatoire à la fin de la procédure, pour la déclaration officielle de l'heure de la mort du condamné.


Histoire
Le docteur Julius Mount Bleyer propose cette méthode d'exécution dès 1888, à New York, mais elle ne fut pas acceptée. Suite aux pressions de la British Medical Association, elle fut également rejetée au Royaume-Uni.

Le premier État des États-Unis à l'adopter fut l'Oklahoma, en février 1977, sous l'impulsion du docteur Stanley Deutsch, suivi du Texas la même année. Ce dernier l'appliqua la première fois le 2 décembre 1982, pour exécuter Charles Brooks. Depuis, la quasi-totalité des États l'utilisent. Elle est considérée par ses partisans comme une méthode moderne et humaine.

De par le monde, de plus en plus de pays l'utilisent. On peut citer notamment la Chine et Taiwan en 1997, le Guatemala en 1998 et les Philippines en 1999. Plusieurs autres pays l'ont adoptée, mais ils ne l'ont pour l'instant pas utilisée.


Déroulement
Le condamné est installé et sanglé sur une table matelassée. Dans certains États, les tables sont remplacées par des fauteuils, un peu comme ceux présents chez les dentistes, pour que le condamné soit plus confortablement installé.

Une ou deux perfusions sont ensuite placées sur son bras, elle serviront à injecter les produits. Une série de trois injections est nécessaire pour exécuter le condamné[2] :

la première, du thiopental sodique est injecté, elle est destinée à endormir le condamné
la seconde, du bromure de pancuronium, elle est destinée à paralyser les muscles et les poumons
la troisième, du chlorure de potassium, elle est destinée à provoquer un arrêt cardiaque
Le déroulement de ces trois injections a été durant une certaine période entièrement automatisé au moyen d'un engin mis au point par le docteur Fred Leuchter, mais la fiabilité douteuse de l'équipement a entraîné son abandon progressif au profit de l'injection manuelle, réputée plus sûre. De plus, il arrive dans certains cas que des problèmes de dosage surviennent. La personne chargée des injections est alors obligée de recommencer depuis le début.

La mort du condamné survient généralement au bout de 5 minutes.


Une méthode contestée
Bien que ses partisans la considèrent comme une méthode qui ne fait pas souffrir le condamné, car dès la première injection le condamné est endormi, ses adversaires la considèrent au contraire comme une des méthodes les plus cruelles.

La première injection est censée endormir le condamné, pourtant en raison de son extrême dosage, le temps d'action est inconnu. Le condamné peut donc très bien être conscient, tout en étant paisiblement allongé sur la table.

Toujours en raison du dosage, à très haute dose le bromure de pancuronium donne une sensation de brûlure intense dans les veines où le produit s'écoule. Le condamné peut donc souffrir atrocement tout en suffoquant lentement et cela sans laisser rien transparaître.

Il est déjà arrivé que les produits ne fassent pas correctement effet. C'est ainsi qu'en Oklahoma, Robyn Lee Parks, exécuté le 10 mars 1992, fut pris de convulsions et suffoqua pendant près de 10 minutes avant de mourir.

Si un problème survient durant l'injection, comme le non-écoulement d'un des produits dans les veines, la procédure d'exécution doit recommencer depuis le début. C'est ainsi qu'il est déjà arrivé que certaines exécutions durent jusqu'à une heure et demie, comme ce fut le cas pour Joseph Clark, le 3 mai 2006.












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#Posté le jeudi 24 janvier 2008 16:04

Modifié le vendredi 25 janvier 2008 07:42

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